Le deuxième album de Sparkheem est une sortie mineure et composite. Accueillant tous ses acteurs, ses rappeurs phares tout comme ses seconds couteaux, il n’en est pas moins une photographie fiable de la scène du Maryland. Allant bien au-delà de ses murmures et de ses pianos horrifiques habituels, le producteur montre qu’en plus du fameux « DMV flow », il faut se soucier du « DMV beat ».
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