Issu de la galaxie West Coast Underground, ce proche de Metfly des Overfiends qu’est Mickey Avalon s’inspire de son expérience glauque de gigolo et de toxicomane pour délivrer un album certes inégal, mais crâne, drôle et éclatant. Il nous offre quelques tubes aguicheurs, par exemple le remarquable « Jane Fonda », et il adapte à l’ère du rap la posture et l’allure des rockeurs glam d’autrefois.
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