Une voix nasillarde qui passe par tous les phrasés, s’adapte à tous les styles et s’exprime sur une musique imprévisible au spectre large. Des textes denses faits d’épisodes biographiques, de références rapologiques et de réflexions sur la condition noire. Des titres boursouflés, mais intenses. C’est réducteur, sans doute, mais à en juger par cet album réussi, JID aura mérité qu’on l’appelle le Kendrick d’Atlanta.
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