Le meilleur livre jamais écrit sur l’histoire du rap pourrait bien être celui-là, qui s’attache à la dimension économique du hip-hop plutôt qu’à son versant musical. Quoi de plus logique, finalement, pour un genre dont la caractéristique est d’avoir réconcilié la musique, traditionnellement idéaliste et romantique, avec le capitalisme, le matérialisme et une vision plus terre-à-terre de la nature humaine.
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