Plus journalistique, plus léger, davantage focalisé sur des individualités que sur des scènes dans leur entier, mais ayant l’avantage de couvrir une période plus récente, Dirty South est un bon complément au Third Coast de Roni Sarig. Avec lui, il permet de compléter le portrait du rap très riche qui, au Sud des Etats-Unis, s’est mis à dominer l’ensemble de la musique hip-hop à partir des années 2000.
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