Anthony Pecqueux aborde les préjugés sur le rap de la meilleure des façons : sans les défendre, mais sans nier qu’ils recèlent malgré tout une part de vérité. C’est un bon travail, tout en nuances. Le seul regret, c’est que le sujet est abordé avec un filtre très français. Le contexte du rap est vu parfois sous une lumière misérabiliste, et il survalorise la dimension textuelle de ce qui est, avant tout, une musique.
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